À quoi ça sert de vivre si on meurt à la fin ?

Un album sur une question existentielle à lire seul ou ensemble pour continuer la réflexion.

La question tombe souvent de façon incongrue et laisse les parents sans voix. Cet album propose de multiples réponses via une petite fille curieuse qui n’hésite pas à interroger son entourage et à multiplier les points de vue. Les illustrations prolongent la discussion. Un bel hymne à la vie. (Chronique parue dans dimanche Ouest-France le 23 octobre 2011)

Sarbacane
À quoi ça sert de vivre si on meurt à la fin ? d’Emmanuelle Piquet et Julien Martinière, Sarbacane, 40 pages, 13,50 €. Dès 6 ans.

Articles similaires

Anne-Laure Bondoux croit au pouvoir de l’écriture

Anne-Laure Bondoux croit au pouvoir de l’écriture

L’infatigable ambassadrice de la littérature jeunesse

L’infatigable ambassadrice de la littérature jeunesse

« Petite et grande ourses », un album lumineux qui libère de l’emprise

« Petite et grande ourses », un album lumineux qui libère de l’emprise

L’adolescence tourmentée de Miss Charity racontée en aquarelles

L’adolescence tourmentée de Miss Charity racontée en aquarelles

No Comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Abonnez-vous à Livresse

Blogs autour de la littérature jeunesse

Blog Coup de Cœur Chapitre.com
Livresse a été sélectionné comme Blog Coup de Cœur par Chapitre.com