Mon père est américain de Fred Paronuzzi, Prix Ados 2014

Cette année, 1329 ados de 13 à 15 ans ont voté pour ce 21e Prix Ados 

Je n’ai pas trop relayé l’événement, je l’avoue, et pour cause. L’organisation du Prix Ados a changé et les rencontres avec les auteurs et les classes n’ont plus lieu le jour de la remise du Prix. Dommage, mais c’est comme ça. Selon les organisateurs, il s’agit « d’une année de transition et de réflexion. Mieux vaut une telle année plutôt qu’une année sans Prix Ados. » L’année prochaine, il y aura « quelques évolutions dans la continuité de tout ce qui a déjà été fait depuis plus de vingt ans. » 

À suivre en 2015 donc. En attendant, ce Prix Ados « light » a été l’un des projets en moins, fatal à Texto. La coopérative, spécialisée dans l’organisation d’événements autour du livre, a dû mettre la clef sous la porte. C’est triste. J’ai pu observer le savoir-faire de l’équipe sur le Prix Ados trois années de suite et elle assurait un max… Les temps sont vraiment durs et le livre trinque !

En tout cas, moi, j’aurais apprécié rencontrer tous les écrivains nominés en 2014 car, cette année, la sélection faisait super-envie ! Et puis, cela m’aurait obligée à lire les romans comme je pensais le faire en découvrant les huit titres…

Tout ça pour dire que je n’ai pas lu Mon père est un américain de Fred Paronuzzi. Maintenant qu’il est lauréat, je n’ai plus le choix. Chronique à suivre donc (mais sans doute pas avant cet été car il y a un gros embouteillage d’avant-vacances qui s’accumule au pied de mon lit… )