Terrienne
Dans son dernier roman, Jean-Claude Mourlevat explore la science-fiction et nous fait aimer nos imperfections !
Mon rendez-vous téléphonique avec Jean-Claude Mourlevat était fixé le lundi 21 février à 17 h. L’espace de quelques secondes, j’ai cru qu’il serait remis. La cause ? Une méchante angine. Finalement, l’écrivain a pris sur lui et a accepté de répondre à mes questions sur Terrienne, son dernier roman paru en janvier. Et le premier que je lisais de lui…
Je sais, il n’y a pas de quoi être fière. Je suis passée à côté de Jean-Claude Mourlevat comme j’étais passée à côté de Timothée de Fombelle. Depuis, pour Timothée, je me suis rattrapée. Après Vango, j’ai pris le temps de lire Tobbie Lolness. Mais pour Jean-Claude, j’ai quelques romans de retard : L’enfant océan, La ballade de Cornebique, Le combat d’hiver, Le chagrin du roi mort. Ils sont tous sur ma table de nuit et je suis impatiente de les ouvrir !
Mais j’ai lu Terrienne. Et comme j’ai apprécié ce roman pour ados (et adultes !), je me suis empressée de proposer au journal un article un peu plus long qu’une chronique (dimanche Ouest-France du 6 mars).
Quant à notre échange téléphonique, il était court mais riche !
Terrienne de Jean-Claude Mourlevat, Gallimard jeunesse, 386 pages, 16 €. Ados et plus grands.
Je n’ai pas encore lu Le combat d’hiver mais Terrienne m’a ravie. J-C Mourlevat est vraiment un auteur extra!