Ma première journée à Montreuil
Elle a failli mal commencer mais ça s’est finalement arrangé.
Réveil. En ces temps grincheux, je craignais le rhume, l’angine ou la bronchite. C’est finalement la migraine qui m’a cueillie au saut du lit ce dimanche matin. Elle était carabinée au point de me faire défaillir au lever. Après un café et 1000 g de paracétamol, j’ai commencé à me sentir mieux mais de là à improviser deux interviews en anglais que je comptais écrire le matin… j’avais quelques doutes !
Repères. Au bout de quelques années de fréquentation, on finit par avoir ses habitudes. A peine les portes du Salon franchies, je me suis dirigée, telle un zombie, vers la salle de presse qui, elle, avait disparu ! L’entrée du public aussi. Enfin, disparaître est un mot un peu fort. Elles avaient juste changé de place. Mais j’ai quand même réussi l’exploit de passer devant la salle de presse toute de rouge vêtue sans la voir. Quant à l’entrée du public, elle est complètement à l’arrière du bâtiment dixit my sister venue me rejoindre en milieu d’après-midi…
Interviews. Si l’on excepte mon anglais presque inexistant et mon français plus que brouillon (la migraine, c’est l’enfer), les entretiens se sont plutôt bien passés grâce à des interviewés tolérants (Meg Cabot pour son dernier roman Abandon et Brian Selznick pour l’adaptation de son livre L’invention de Hugo Cabret) et à des traducteurs qui m’ont sauvé la mise ! Quant à ce qu’ils m’ont dit, je vous en dirai plus bientôt.
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