J’ai emprunté la Rue des livres
Où j’ai dû me concentrer pour entendre Ahmed Kalouaz et Karine Reysset…
Petite déception. La rencontre repérée a lieu dans un coin de la Baraque, le lieu principal où les éditeurs et libraires sont installés et où le public circule. Le nombre de place pour les auditeurs est limité à une douzaine (3 bancs de 3 places et deux fauteuils). Résultat, je suis debout…
Bruit. Forcément, le brouhaha gêne. Surtout lorsqu’une manifestation impromptue a lieu dans les allées. Pour suivre la conversation, un gros effort de concentration s’impose. J’entends difficilement les auteurs parler de leurs livres récents et je tends très fort l’oreille lorsqu’Ahmed évoque La première fois on pardonne, le seul que j’ai lu. C’est épuisant mais intéressant. Alors, je m’accroche.
Balade. La rencontre terminée, je me balade dans les allées, un peu déçue sur les conditions (je n’ai même pas pu prendre de notes) mais avec l’envie de suivre de plus près Karine Reysset et Ahmed Kalouaz, maintenant que j’ai mis un visage sur leur nom. Je circule et discute car, forcément, je croise des visages rennais connus. Derrière les tables, il y a du beau monde. Les auteurs et illustrateurs jeunesse sont venus dédicacer en nombre. Au détour d’une conversation, j’apprends que les rencontres du dimanche ont lieu dans une salle à part. Ouf pour les autres mais moi, je n’y serai pas!
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