Le fils de l’ombre et de l’oiseau, Alex Cousseau, Le rouergue

Un roman-fleuve, magique et poétique, qui traverse l’Amérique du Sud du XIXe siècle

Chili, 1916. Elie et Elias s’apprêtent à éliminer Butch Cassidy pour venger leur père. Mais avant d’appuyer sur la gâchette, ils ont toute la nuit pour expliquer leur geste. Une explication qui les oblige à remonter la mémoire familiale, comme on remonte un fleuve tumultueux pour retrouver la source. C’est ainsi qu’ils embarquent le lecteur sur l’île de Pâques en 1801, là où naît Poki, leur grand-mère. Une femme libre et téméraire dont la vie se mêle à la légende. À peine sortie de l’adolescence, elle donne naissance à un fils dont le père est une ombre. Le lecteur suit alors le destin de Pawel, une vie extraordinaire, magique et poétique, de Valparaiso à la Patagonie en passant par le fleuve Amazone.

Comment parler de ce roman qui se joue des genres et des classements hasardeux ? Roman fantastique, légendaire, d’aventures, historique, initiatique, d’amour, familial… Le fils de l’ombre et de l’oiseau est une fusion dans laquelle le lecteur se laisse entraîner avec magie et poésie grâce à la plume d’Alex Cousseau.

J’ai fait de mon mieux pour partager mon coup de cœur dans dimanche Ouest-France. Mais le mieux c’est de faire votre propre opinion en le lisant.