Parenthèse malouine…
… pour un voyage ponctué de rencontres et de très belles découvertes iconographiques
Le festival Etonnants voyageurs a fêté ses 25 ans ce week-end. Moi, je le côtoie depuis un peu moins de temps puisque mon premier festival date de 1994 (ce qui fait quand même déjà beaucoup d’années 😉 !). En tant que journaliste, je le fréquente depuis 2010. J’avais alors rencontré Timothée de Fombelle pour parler de Vango.
Pour moi, Etonnants Voyageurs (qui a eu la très bonne idée de s’installer dans mon port d’attache) c’est d’abord cette image dont je ne me lasse pas et qui m’invite à chaque fois au voyage (paradoxal pour un port d’attache !).
Etonnants voyageurs, c’est aussi de multiples rencontres, longues ou furtives, mais c’est toujours plaisant de voir en chair et en os les plumes et les pinceaux qui vous touchent, même lorsque l’échange se réduit à un simple bonjour, un sourire ou un regard. On ne peut pas voir et entendre tout le monde, il faut faire des choix. J’avoue avoir été gâtée cette année car j’ai eu la possibilité de prendre un café dimanche matin avec Jean-Claude Mourlevat et Anne-Laure Bondoux pour leur roman épistolaire à quatre mains paru en littérature générale − Et je danse aussi ! − dont je compte bien vous parler très vite.
Etonnants voyageurs ce sont aussi des images à couper le souffle : photos, dessins, planches de BD… Elles sont nombreuses et mises en avant grâce à des petites expositions qui suscitent à chaque fois l’envie d’en voir plus. Cette année, j’ai été bouleversée par les photos du Mozambique de Marie Dorigny, émerveillée par les illustrations de Hannes Binder et scotchée par les planches de Riff Reb’s.
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