Lison à la campagne, André Bouchard, Seuil jeunesse
Lison découvre la campagne toujours avec son (im)pertinence fantasque et c’est réjouissant jusqu’à la quatrième de couverture !
Quand une petite citadine à la langue bien pendue passe des vacances à la campagne, ça donne quinze strips en mode nature, dans lesquels illustrations et dialogues sont en parfaite symbiose, et ça procure un grand bol d’air en mode humour, qui rend ce très jeune personnage de plus en plus attachant.
Après la maison et les nuits courtes, l’école et l’apprentissage de la sociabilité, Lison agrandit son horizon, découvre le silence, entend les insectes volés, s’inquiète du réveil du coq, se prend pour une lionne, expérimente que l’homme ne descend pas du singe…
La miss est toujours aussi vive, déroutante et parfois même pertinente : oui vivre à la ville donne envie de vivre à la campagne (à condition de retourner vivre en ville sinon ça ne marche plus 😉 !)
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