Sherlock Holmes et le diadème de béryls
Un classique revisité grâce à des illustrations qui plongent le lecteur au XIXe siècle in London …
Un riche banquier débarque chez le célèbre détective dans un état peu compatible avec son rang et incapable d’aligner deux mots. Il finit par se calmer et commence son récit. Un client lui a confié en gage un précieux diadème à la valeur inestimable. Face à une telle responsabilité, l’homme a préféré ne pas se séparer de l’objet et l’a ramené chez lui.
Mais pendant la nuit, le diadème a perdu une de ses pierres précieuses et le lendemain, son fils est emprisonné pour vol… Il y a là de quoi perdre son latin mais Sherlock, lui, ne perd pas son flegme légendaire et accepte l’affaire sans se faire prier.
Voilà un album qui par sa taille et sa couverture attire le regard. Les peintures plongent les lecteurs dans l’atmosphère enneigée de Londres du XIXe. Le texte intégral fleure bon l’écriture classique et participe à cet univers désuet auquel il est agréable de (re)goûter.
Je l’ai lu à haute voix à mes filles qui n’en ont pas perdu une miette. Elles ont mené l’enquête auprès du célèbre détective mais je ne vous donnerai pas le résultat!
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