I comme Iris, Anne Loyer, Alice jeunesse
La chronique du cinquième roman en lice pour le Prix dimoitou !
Voilà une partie de ma chronique parue en janvier dans dimanche Ouest-France :
Iris vit avec Mélie, sa mère dans un tout petit appartement à Paris. Son père est parti avec une autre femme. Dans leur nouveau quartier, Iris et Mélie ont trouvé leur rythme. Jusqu’au jour où Iris doit consulter un spécialiste. Car la miss est une bavarde intarissable mais lorsqu’il s’agit d’écrire, les mots s’emmêlent et la jeune fille est incapable d’aligner un ligne. C’est là qu’intervient Monsieur Joconde, orthophoniste…
Lorsque j’ai demandé à Anne Loyer pourquoi elle avait écrit pour le présenter dans dimoitou, voilà ce qu’elle m’a répondu :
« Ce livre s’attache à mettre en lumière le ressenti d’une petite fille face au monde des adultes. La séparation des parents est une étape toujours délicate. Je voulais montrer comment Iris y trouve un chemin pour grandir. «
L’intention est, pour moi, réussie car j’ai trouvé ce roman touchant, réaliste et juste. Et dans l’air du temps.
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